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Une promesse est faite pendant le mariage pour sceller une dévotion totale à son partenaire. La promesse est d’aimer seulement et uniquement l’autre moitié du couple. En réalité, comme nous le savons tous, ce n’est malheureusement pas le cas. La plupart des demandes de divorce et de séparation sont précisément causées par des épisodes d’infidélité conjugale (ou d’adultère) même après un Consentement mutuel et suivant les obligations du mariage ou le divorce aux torts exclusifs. Ceux-ci peuvent conduire à la rupture totale de la confiance et à l’impossibilité de poursuivre la relation.

L’infidélité au sein du mariage est une raison valable pour demander la dissolution du couple. Cependant, le fait d’admettre l’infidélité, ou de la découvrir par soi-même avec des preuves irréfutables, est-il considéré comme un crime dans la législation d’aujourd’hui ?

Le doute est légitime : après tout, on rompt une promesse solennelle de devoir de fidélité faite devant l’autel. Après tout, l’infidélité conjugale reste une cause de divorce licite ou d’interruption du lien conjugal. Cela vaut si elle a été la cause unique, ou la cause principale, de la fin du mariage.

La différence entre adultère et tromperie

D’un point de vue juridique, l’adultère et la tromperie peuvent tous deux conduire à une séparation, le conjoint « coupable » étant accusé, mais la tromperie n’est pas toujours physique.

De nombreuses décisions de justice rendues ces dernières années considèrent également comme une tromperie celle qui a lieu sur Internet par le biais de sites de réseaux sociaux et de salons de discussion, et l’échange de messages non équivoques peut également être considérée comme une tromperie.

L’adultère et la tromperie faits par l’époux fautif ont en commun la relation physique ou platonique établie avec une personne autre que le partenaire, l’intentionnalité de vouloir entrer dans une autre relation avec une personne différente sans mettre fin à la relation avec le partenaire, et l’existence de fiançailles ou d’une relation conjugale.

Aujourd’hui, l’adultère et l’infidélité semblent être la même chose et peuvent conduire à l’altération définitive du lien conjugal. Il y a encore quelques décennies, l’adultère était puni d’une peine d’emprisonnement. Aujourd’hui, la signification de l’adultère est associée à celle de la tromperie.

Littéralement, l’adultère est la culpabilité d’un conjoint qui établit une relation hors mariage avec une autre personne, s’engageant dans une relation amoureuse qui pourrait compromettre la vie des époux. L’adultère peut être assimilé à une simple liaison s’il se produit alors que deux personnes sont mariées l’une à l’autre, mais il peut également se produire si deux personnes sont fiancées.

La différence entre l’adultère et la tromperie réside dans le lien du couple

Il y a tromperie lorsque deux personnes sont fiancées et que l’une d’entre elles entretient une relation avec une autre personne, ou lorsque la relation extraconjugale est occasionnelle et non continue généralement sans séparation du corps.

Et, il y a adultère lorsque deux personnes sont mariées.

Par rapport au mariage, l’adultère est une tricherie continue qui se traduit par une liaison extraconjugale avec un amant autre que le conjoint. Une escapade sans liens affectifs ni vie de couple ne constitue pas un adultère.

Aujourd’hui, il n’y a pas de différence claire entre l’adultère et la trahison, et le mot « adultère » est utilisé dans le langage courant. Aucun juge ou avocat n’utilise le terme d’adultère pour définir l’infidélité d’une femme et non celle d’un homme, alors qu’il semble habituel d’utiliser le mot « trahison » dans les salles d’audience.

Comprendre quand il y a tromperie, c’est considérer l’infidélité d’un point de vue essentiellement subjectif. Un simple message reçu sur le téléphone du partenaire, un lien particulier établi entre le conjoint et une personne autre que l’époux ou l’épouse peuvent être considérés comme de l’infidélité.

La trahison est avant tout une question psychologique, souvent infondée, mais elle consiste à se sentir éloigné de son partenaire qui semble préférer une autre personne au lieu de réserver son amour et son affection à l’autre partie du couple.

Toute trahison n’est pas juridiquement valable et tout lien affectif hors mariage ne donne pas lieu à une accusation de séparation.

Cas d’adultère: pourquoi faire appel à un détective privé ?

Un enquêteur professionnel  ou un Constat d’huissier pour un délit d’adultère ou une violation du devoir, capables non seulement de filer le suspect, mais aussi d’obtenir des preuves à présenter au tribunal si nécessaire est d’une grande aide pour le demandeur qui souhaite la dissolution du mariage ou du divorce par consentement.

Les soupçons de l’Epoux demandeur sur le fait que son conjoint le trompe avec un tiers deviennent de plus en plus accablants, que ses doutes se transforment en certitudes et qu’il souhaite simplement comprendre une vérité cachée, le détective privé est la personne qu’il lui faut. Grâce au professionnalisme de son travail, à sa discrétion et à la technologie qu’il possède, le détective privé est le seul à pouvoir fournir certaines données sans tomber dans l’illégalité et sans être découvert par la femme adultère, ce qui aggraverait une situation déjà précaire.

De nombreuses personnes ont peur et honte de faire appel à un enquêteur pour constater une relation extra-conjugale et préfèrent le faire elles-mêmes, ce qui, même en cas de succès, ne constituerait pas une preuve valable en cas de procès. En effet, si l’on ne dispose pas des autorisations nécessaires, on risque de violer la vie privée de son conjoint et de se retrouver dans l’illégalité selon la procédure civile.

Pourquoi enquêter sur l’infidélité ?

En cas de séparation suivie d’un divorce même après audience de conciliation, la preuve de l’infidélité de la conjointe constitue une infraction civile ou matrimoniale, ce qui nécessite une séparation avec inculpation.

Le partenaire qui commet l’infidélité conjugale devient alors responsable de la fin du mariage et doit donc verser une pension alimentaire au conjoint trahi. Il quitte le domicile conjugal également, et c’est une obligation. Selon le caractère de gravité de la double vie, la victime peut obtenir la garde exclusive des enfants.

Le conjoint victime de l’acte d’adultère de son partenaire doit cependant s’efforcer de trouver la preuve de ce comportement, ce qui n’est pas facile à faire sans violer la vie privée de l’époux ou de l’épouse. Il existe de nombreux cas d’infidélité dans lesquels l’un des deux a recueilli des messages compromettants en espionnant le smartphone de son partenaire ou en parcourant divers forums de discussion ou courriels.

Tout cela sans jamais avoir l’autorisation du conjoint n’est pas légal, à moins que le téléphone ait été laissé à la maison et sans protection.

Choisir d’entreprendre une enquête pour tromperie est, sans l’ombre d’un doute, la meilleure stratégie sur tous les fronts. Le détective a la possibilité de documenter l’acte d’adultère au moyen de vidéos et de photos professionnelles.

En cas de litige concernant tous les éléments apportés au juge comme preuve de l’acte, c’est le détective privé qui a effectué la recherche de preuves qui témoignera au stade du tribunal  pour la procédure de divorce. Il s’agit pour lui d’être le témoin direct de la trahison du mari ou de la femme reconnu(e) coupable d’adultère dans ce cas précis pour aider la victime dans sa demande de divorce (divorce pour faute) et demander des dommages et intérêts selon le code civil et devant le juge aux affaires familiales.

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